Copain ou ami ?
Ce week-end, histoire de varier les plaisirs... nous avons encore fêté l'anniversaire de Félix... mais avec les copains cette fois ! La maison étant en chantier... j'ai dû limiter le nombre d'invités, en le ramenant de 11 à 4 car seul le jardin est accessible et possible pour ces petites choses très remuantes et sautillantes et criantes, inventives et imaginatives, jamais en panne d'inventions !
Vous en doutez ? Et bien je n'invente rien : en une seule soirée et à deux uniquement (Félix et un copain), ils ont réussi à passer de la chambre au potager PAR la fenêtre en montant SUR le radiateur... à se pendre SUR les petites branches du cerisier à la limite de se casser (pour une dégustation... ça peut se comprendre!), à balancer DANS le vide jouets du jardin et camion FISHER PRICE (réputé incassable !) pour exploser le coffre en MILLES morceaux, à se faufiler ENTRE les meubles de cuisine encombrants le salon pour rester coincés SOUS la table accueillant les casseroles, AU MILIEU de pots en terre et autres... je vous passe les détails !
Sans remord, seuls 4 camarades ont été sélectionné rigoureusement avec énoncé de "règles" (mot honni par les enfants) à l'arrivée et interdiction d'accès à la maison sauf pour pipi. Tout cela pour en arriver à dire que tout se passait relativement bien et les 3 premiers garnements patientaient en jouant aux jeux que je proposais en attendant le 4e comparse qui se faisait attendre pour attaquer le pique-nique... et de demander qui c'est ? où il habite ? pourquoi il est pas là ? et de leur synthétiser : c'est un copain de Félix qui ne va pas à votre école et habite vers Aix (c'est où Aix ?)...
Et mon Filou de s'exclamer haut et fort : "Mais non ! Mathis, c'est pas un copain d'abord, c'est un ami !" . Ce qui me laissa quelque peu sidérée car je n'avais point mesuré qu'il faisait déjà la différence à 6 six tout juste soufflé ! On ne soupçonne jamais jusqu'où l'intelligence et la compréhension de nos ouailles s'élèvent. Tant mieux pour eux et tant pis pour nous si on traîne derrière : allez ! faut se bouger les working girls pour rester dans le vent !
Vous en doutez ? Et bien je n'invente rien : en une seule soirée et à deux uniquement (Félix et un copain), ils ont réussi à passer de la chambre au potager PAR la fenêtre en montant SUR le radiateur... à se pendre SUR les petites branches du cerisier à la limite de se casser (pour une dégustation... ça peut se comprendre!), à balancer DANS le vide jouets du jardin et camion FISHER PRICE (réputé incassable !) pour exploser le coffre en MILLES morceaux, à se faufiler ENTRE les meubles de cuisine encombrants le salon pour rester coincés SOUS la table accueillant les casseroles, AU MILIEU de pots en terre et autres... je vous passe les détails !
Sans remord, seuls 4 camarades ont été sélectionné rigoureusement avec énoncé de "règles" (mot honni par les enfants) à l'arrivée et interdiction d'accès à la maison sauf pour pipi. Tout cela pour en arriver à dire que tout se passait relativement bien et les 3 premiers garnements patientaient en jouant aux jeux que je proposais en attendant le 4e comparse qui se faisait attendre pour attaquer le pique-nique... et de demander qui c'est ? où il habite ? pourquoi il est pas là ? et de leur synthétiser : c'est un copain de Félix qui ne va pas à votre école et habite vers Aix (c'est où Aix ?)...
Et mon Filou de s'exclamer haut et fort : "Mais non ! Mathis, c'est pas un copain d'abord, c'est un ami !" . Ce qui me laissa quelque peu sidérée car je n'avais point mesuré qu'il faisait déjà la différence à 6 six tout juste soufflé ! On ne soupçonne jamais jusqu'où l'intelligence et la compréhension de nos ouailles s'élèvent. Tant mieux pour eux et tant pis pour nous si on traîne derrière : allez ! faut se bouger les working girls pour rester dans le vent !